Note de Mathilde Roussat, habitante de Chevreuse, et adhérente de l’aavre.
Des blocs d’immeubles en béton, des toits plats, des zones naturelles humides détruites au bénéfice de promoteurs, des berges de rivière toujours plus artificialisées alors que nos villages ont connu les inondations de 2016 et 2018 – au cœur du PNR et en site inscrit, restera-t-il bientôt encore quelque chose de la Vallée de Chevreuse ?
Est-ce vraiment la vallée que nous voulons laisser à nos enfants ?